Une étude de la fonction menstruelle moyenne révèle beaucoup d’anomalies : douleurs, crampes, écoulement excessif, malaise.
Les femmes supportent en fait des règles douloureuses (parce que fréquentes elles l’acceptent) La réalité est que quand le foie ne remplit pas ses fonctions de filtre, le sang est empoisonné par l’indigestion des aliments ingérés. La fonction menstruelle au lieu de remplir son office naturel, devient une sorte de filtre provoquant une inflammation chronique de l’utérus.
Quand du sang toxique cherche une issue à travers l’utérus à la faveur de la fonction menstruelle, l’inflammation et l’irritation de la délicate membrane muqueuse qui en résultent provoquent des spasmes qui se traduisent par des douleurs et des crampes.
En fait, nous introduisons du poison dans le corps par la nourriture.Si la toxicité est moins virulente ou plus diluée, la patiente ressent simplement une sensation de lourdeur et de congestion dans le bassin.Une fois l’écoulement commencé, la nature déverse autant de matière toxique que possible, irritant les couches profondes de l’utérus. Ce qui devrait être un simple écoulement se transforme en hémorragie, durant parfois plusieurs jours, mettant la patiente dans un état constant d’anémie, de nervosité, de fatigue. Il peut même en résulter un oedème !
La qualité du sang menstruel varie en fonction de la composition chimique de la matière toxique.
● Un sang rouge, abondant, sans odeur, accompagné de sévères crampes utérines, révèle que la principale substance irritante provient d’une mauvaise digestion de sucre et de farines. Les toxines responsables sont des acides qui n’ont pu êtres complètement oxydés.
● Un sang menstruel foncé, odorant et visqueux, on peut conclure à la présence de toxines d’une indigestion de protéines (oeufs, fromages, viandes)
Ainsi il devient évident qu’en cas de nécessité, l’utérus choisi par la nature comme organe de reproduction peut servir à l’élimination des déchets purifiés.
INFLUENCE DE LA QUALITE DU CYCLE SUR LA MENOPAUSE
La ménopause chez une femme saine est sans complication. Les périodes menstruelles cessent et c’est tout.La femme malade, intoxiquée doit non seulement endurer beaucoup de souffrance dans ses périodes menstruelles, mais encore subir une épreuve plus pénible lors de la ménopause.
Chez la femme intoxiquée, toute une série de malaises nouveaux surgit et parmi eux : des bouffées de chaleur-migraines-dépressions nerveuses-arthrites-palpitation du coeur- fatigue et prostration.
Lorsque la porte de sortie est fermée par la ménopause, les toxines continuent néanmoins d’affluer vers l’utérus et à s’y infiltrer. L’inflammation s’étend progressivement et un suintement aqueux avec une odeur métallique caractéristique se produit à travers les vaisseaux lymphatiques du ventre.