J’ai séduit la vendeuse de placali pour manger gratuitement, elle est devenue l’amour de ma vie
Jeune homme âgé de 27 ans que je suis, je réside en Abidjan, plus précisément, dans la très célèbre commune d’Adjamé. Il y a de cela 6 ans maintenant, j’ai obtenu mon examen du BTS et depuis lors, bien qu’ayant fait quelques stages ça et là, je n’avais toujours pas été embauché dans une entreprise.
Ainsi, à l’instar de plusieurs de jeunes de mon cas, je m’étais donné au métier informel de gérant de Cabine. Dans mon quartier, une jeune fille ivoirienne d’ethnie Baoulé, âgée de 20 ans et appelée Adjoua était une vendeuse de placali. Elle était très réputée des environs. En réalité, elle avait hérité du commerce et du talent de sa mère qui hélas, avait cassé la pipe quelques années plus tôt.
Cela dit, sa fille Adjoua, une très belle jeune demoiselle avec des rondeurs dignes de la femme africaine à l’état pur, assurait parfaitement sa relève. Son commerce marchait à merveille et attirait vraiment l’affluence eu égard à ses talents de cuisinère hors du commun.
Jeune galéré du quartier que j’étais, ma petite amie d’alors une certaine Sarah avec qui j’avais fait pratiquement deux ans venait de me larguer pour un brouteur du quartier qui moussait assez bien à l’époque. Bien qu’ayant eu très mal car je l’aimais réellement, j’avais réussi à passer à autre chose bien rapidement.
Après quoi, j’avais ainsi convenu avec mon ami Ange Koudou de faire la cours à Adjoua afin de manger » au gratuit » comme on le dit dans nos jargons ici. Cela allait me permettre d’économiser un temps soit peu mes faibles revenus plutôt que d’acheter tout le temps de la nourriture. Pour dire vrai, j’étais tout de même un assez bon dragueur et séduire Adjoua n’a pas été un très grand souci pour moi. Adjoua et moi avions commencé à entretenir une relation que je ne prenais pas réellement au sérieux. Mais bénéficiant des avantages cités supra, cela me convenait parfaitement.
En effet, en plus du fait que mon ami Ange et moi allions nous restaurer chez elle tous les jours gratuitement, Adjoua était devenue comme un ange gardien pour moi. Elle n’hésitait pas à me venir en aide sur tous les plans notamment financierement chaque fois que je la sollicitais.
Ce n’était pas tout, bien tôt dans la relation, j’ai fini par comprendre qu’elle n’avait pas seulement des talents de cuisinière. Adjoua avait aussi de très grands talents au lit à l’image de Sunny Leone. Vous l’aurez compris, au fil du temps, j’étais tombé sincèrement amoureux d’Adjoua., qui l’aurait cru ?
Des mois étaient passés et je vivais une bonne relation avec elle et comme si ça ne suffisait pas, une entreprise de la place où j’avais déposé mes dossiers depuis un certain moment me contacta pour me faire savoir que mon dossier avait été accepté d’où mon embauche.
J’étais devenu un salarié. Ange, mon pote de toujours lors d’un échange me disait :
– Djo tu » bara » à présent hein, t’es » gbé » maintenant. Tu peux te taper les meufs que tu veux. Tu comptes faire quoi d’Adjoua ? je te rappelle qu’elle n’a que le niveau Cm2.
– Son niveau m’importe peu bro. Je suis désormais éperdument amoureux d’elle et je veux faire du sérieux avec elle crois moi. Lui ai-je répondu.
– je te comprends et tu as tout à fait raison. Je t’y encourage. Répliqua-t-il.
De son côté, après avoir connu une véritable désillusion avec son brouteur et ayant eu des échos pour mon nouvel emploi, Sarah tenta de revenir vers moi.
– Écoute bébé, tu sais que c’est toi l’homme de ma vie. Je t’aime et j’aimerais qu’on reparte de zéro toi et moi. J’avoue que je m’étais trompée. Je me suis laissée embobiner par ce faux type naguère mais oublions le passé. M’a-t-elle dit.
– Désolé ma chère je suis déjà en couple comme tu le sais. Et je ne peux pas laisser ma chérie pour toi après ce que tu m’as fait.
– Quoi? Donc t’es en train de me dire que tu ne veux plus de moi, moi Sarah à cause de cette villageoise là ? Attend, t’es sérieux là ?
– Bah je n’ai jamais été aussi sérieux de ma vie. Cette villageoise comme tu l’as dit, c’est l’amour de ma vie. Elle a sû conquérir mon cœur. Ne dit-on pas que QUAND QUELQU’UN LAISSE, QUELQU’UN PREND ?
Aujourd’hui, je suis marié à Adjoua et nous vivons heureux. Grâce à mon soutien financier, elle a pu agrandir et professionnaliser son commerce qui est devenu encore plus rentable et nous aide à vivre comme des dignes fils à papa des films Hollywoodiens nos deux enfants et nous tout en dégustant constamment de bons plats de placali.
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