Le samedi 30 novembre 2024, à Cocody-Angré, l’International Peace and United Foundation (IPUF) et l’Association des Filles Unies de Zébihapelo de Niaprahio ont scellé une alliance dans une ambiance empreinte de convivialité. Ce grand rendez-vous a marqué à la fois le retour au pays de Jeannette Dick, présidente-fondatrice de l’IPUF, et le début d’une collaboration prometteuse entre les deux organisations. Ensemble, elles entendent transformer la vie associative grâce à des initiatives axées sur la paix, l’unité et le bien-être.
Dans son discours, Jeannette Dick a souligné l’importance stratégique de ce partenariat, dont l’objectif est de promouvoir l’autonomisation des jeunes filles et des femmes. Elle a également insisté sur le renforcement de leurs capacités dans divers domaines pour contribuer au développement de la région et, par ricochet, de la Côte d’Ivoire.
« Notre fondation prône les valeurs de paix en tout lieu et en toutes circonstances. Notre ambition est de bâtir une paix positive qui prend en compte les dimensions structurelles, économiques, éducatives, sanitaires, sociales et culturelles. Avec cette alliance, sous la bénédiction de mon mentor aux États-Unis, nous serons plus fortes et irons plus loin », a-t-elle déclaré avec conviction.
Elle a ajouté que cette union repose sur des projets concrets d’entraide et de solidarité, visant à faire des femmes et des jeunes filles des actrices clés du changement dans leurs communautés. « Sans paix, sans unité, sans une mission de vie clairement définie et sans plan concret, aucune œuvre humaine n’est possible », a-t-elle affirmé.
Marie Madeleine Madou, présidente de l’Association des Filles Unies de Zébihapelo, s’est réjouie de retrouver Jeannette Dick et a salué l’expérience internationale de cette dernière. « Nous espérons que cette collaboration contribuera à notre succès, à notre développement et à notre bien-être », a-t-elle déclaré avec espoir.
Ce partenariat pose les bases d’un avenir meilleur pour la localité, en misant sur des actions communes pour le progrès social et économique.
Avant les discours officiels, une prière a été prononcée depuis Paris pour confier l’événement à Dieu. La cérémonie s’est conclue en beauté avec des danses traditionnelles Bété et un déjeuner somptueux, scellant ainsi cette rencontre mémorable.
Florence EDIE